Notre histoire
Il était une fois un moulin…
Les origines
Notre histoire commence en 1867, lorsque la famille Borms achète le Vondelmolen à Lebbeke. Nous avons d’abord utilisé ce moulin à vent en pierre sur la berge du Vondelbeek pour extraire l’huile végétale des graines et des noyaux. Nous avons élargi le site juste avant la Première Guerre mondiale, et le moulin est devenu un entrepôt.
Destruction et reconstruction
Après la Première Guerre mondiale, notre moulin avait complètement brûlé, et il ne restait plus grand-chose de notre entreprise. Nous avons continué à travailler avec des chariots que nous louions et nos 2 chevaux. À l’époque, Jozef Borms a décidé de faire du commerce de gros de matières premières de boulangerie. Ce fut une étape importante de notre histoire.
Dans les années 1920, nous avons commencé à fabriquer nos propres produits de boulangerie comme le pain d’épices, le spéculoos et la biscotte. Notre entreprise comptait alors environ 20 collaborateurs et fournissait les commerçants de la région.
Début de l’essor
Après la Deuxième Guerre mondiale, nos capacités ont augmenté. À la fin des années 1950, nous produisions du pain d’épices pour le commerce de gros et les supermarchés. La grande modernisation de notre entreprise n’a vraiment accéléré que dans les années 1960, une période d’investissements, de rachats et d’expansions.
Premier fabricant de pain d’épices de Belgique
Plus d’un siècle et demi plus tard, Vondelmolen est toujours une véritable entreprise familiale. Jan Borms, qui représente la cinquième génération de pâtissiers, est aux commandes. Bien que nous soyons aujourd’hui une entreprise moderne d’envergure internationale, notre savoir-faire reste celui d’une entreprise familiale artisanale. Nous n’avons jamais rien changé à la tradition, au goût et à la qualité de nos produits naturels.
Ce n’est pas pour rien que Vondelmolen est aujourd’hui le plus grand fabricant de pain d’épices de Belgique, et le seul à avoir reçu le label de produit régional belge. Le monde entier savoure nos produits régionaux. Plus de la moitié de ce que nous produisons chaque année est destinée à l’étranger, de la France au Japon.